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lundi 28 novembre 2011

Black Friday

Le "Black Friday"? C'est quoi ça?

Ce jour particulier qui survient le jour suivant Thanksgiving (quatrième jeudi de novembre aux États-Unis) marque tous les ans l'ouverture de la période des soldes de fin d'année. En général, c'est la période la plus avantageuse commercialement pour les magasins qui se targuent d'ouvrir leurs portes à minuit (ou 5h du matin) en ce jour particulier.

Résultat: après un superbe dîner à Oakland chez un collègue de travail, David, où nous avons pu déguster une daube succulente cuisinée par sa femme puis jouer successivement au poker et à UNO, nous sommes revenus sur San Francisco, à Union Square, une des places les plus fameuses de la ville.

A la sortie des souterrains du BART (transport public équivalent au RER), nous avons peu à peu réalisé qu'il y avait un paquet de monde pour les soldes qui venaient tout juste de commencer: il était 1h10 du matin...


Mais cette contemplation ne fut que brève. En effet, une fois la foule observée, il n'y avait plus grand-chose à voir... Du coup, nous sommes tous repartis en direction de nos maisons respectives, bien que j'ai du finir le chemin en taxi car les bus ne roulaient plus jusqu'à chez moi à cause de l'heure avancée.

Et là, quelle ne fut pas ma surprise en rentrant dans le véhicule...


Au réveil le lendemain matin, je voulais profiter du Black Friday pour aller m'acheter une télévision et un vélo (vous savez, pour le fameux AIDS LifeCycle). Je suis donc allé chez Best Buy puis chez Sports Basement afin de voir ce qu'ils avaient à vendre, et j'ai trouvé mon bonheur dans les deux magasins. Sauf que... aucun des deux n'était en promotion. J'aurai donc pu y aller un autre jour...

Fort heureusement, il n'y avait pas beaucoup de monde, il n'a donc pas été pénible de faire l'acquisition des biens: $610.00 pour la télévision et $875.00 pour le vélo. Des gros chiffres, mais qui se sont rendu utiles très rapidement. J'ai utilisé le moniteur le jour même et le vélo le lendemain pour un trajet de 57 kilomètres. Hé oui, l'entraînement continue!

Le soir de la même journée, à 18h, le sapin de la place de Union Square était illuminé pour la première fois. Il restera ainsi jusqu'à Noël et probablement un peu après. Quelques animations étaient de la partie avant l'allumage en temps que tel quelques dizaines de minutes plus tard.

Vidéo à l'appui.


Bref une journée bien remplie qui s'est révélée très productive. Et je n'ai pas encore fini de raconter mon week-end :)

lundi 21 novembre 2011

Marathon Harry Potter, Jour 2

Moins d'informations pour cette journée pendant laquelle les 4 derniers films de la série ont été projetés:
  • Harry Potter et l'Ordre du Phénix
  • Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé
  • Harry Potter et les Reliques de la Mort (Partie 1)
  • Harry Potter et les Reliques de la Mort (Partie 2)
Entre deux films.
Petit intermède de l'organiste entre les deux derniers qui nous a agréablement surpris en jouant le thème de Harry Potter (désolé j'ai raté la partie principale).



Et sinon quelques vidéos bonus sur le cinéma en lui-même. La première, Nora, collègue de travail bossant aux relations presse donnant ses impressions sur l'évènement!

Nora et Adeline!

Suivi des impressions d'Adeline, amie de Nora ;) Bon je triche un peu cette vidéo a été prise le jour d'avant mais je n'avais pas eu le temps de l'envoyer sur Youtube!


Ainsi que la dernière, que je vous laisse découvrir :p

dimanche 20 novembre 2011

Marathon Harry Potter

Ce samedi, petit marathon Harry Potter: les 8 films sont projetés sur les deux jours (4 par jour) au Castro Theatre, pour la modique somme de $12.00/jour.

Rendez-vous donc ce matin à 11h15 devant le théâtre. Il y avait une petite file de gens qui attendaient mais rien d'insurmontable. On a profité de l'attente pour aller prendre un petit café ;)
En avant pour le marathon Harry Potter!
Super journée en tout cas, la salle est très confortable et classe!
La salle, dans le mode "old school".
Le plafond.
A l'intermède qui est survenu entre le film 2 et 3 et qui a duré 30 minutes, j'ai pu voir des bobines de film non loin de l'entrée du théâtre. Je ne sais pas si ce sont celles utilisées pour les projections d'aujourd'hui, mais en tout cas ça en jette!

Enfin, cerise sur le gâteau, l'intermède a été l'occasion de voir un joueur d'orgue professionnel à l'oeuvre! Agréable de pouvoir manger son sandwich en musique!


Dire qu'on remet ça demain ;-)

lundi 14 novembre 2011

Halloween 2011

Aux Etats-Unis, Halloween est synonyme de grosse fête. Du genre qu'on n'a pas en France à cette période de l'année. Et plus particulièrement à San Francisco.

En effet, il est presque habituel pour les habitants d'organiser une soirée déguisée entre amis, voire même de l'étendre jusque dans leur société. La ville se transforme alors en joyeux carnaval, divisé plus ou moins en deux parties: une pour les enfants, plus soft, où ceux-ci récoltent des bonbons avec le fameux "Trick or treat!"; et une pour les adultes, en général plus délurée et se déroulant à Castro, le quartier historiquement le plus libéré de San Francisco.

Mais remontons au samedi 29 octobre, jour où j'avais proposé sur Expat-Blog de se donner rendez-vous au Lafayette Park pour un pique-nique sans me rendre compte que ça tombait le week-end d'Halloween. Projet finalement annulé, donc, remplacé par une séance de théâtre improvisation sur Mason Street proposé par Flo, une membre dudit site d'expatrié.

Costume
Mais je vais devoir encore vous ramener un peu en arrière (promis je m'arrête là), quelques heures avant, pour vous emmener chez Spirit Halloween, un magasin de déguisements où je me suis rendu pour acheter mon costume. Hé bien je dois vous dire que ça fait peur: énormément de monde (j'ai passé plus de temps dans la queue que pour trouver mon costume et du maquillage), plein de gens bizarres et des décorations qui sont vraiment bizarres, la preuve en image.

Vous ne le voyez pas sur la photo, mais les bébés, ils tournent...
Bref on se sent dans l'ambiance, et je n'avais pas l'impression d'être hors de propos avec mon gros sac dans les bras.

samedi 12 novembre 2011

Balade à vélo...

Aujourd'hui, sport!

San Francisco et la baie est probablement un des endroits au monde les plus agréables pour faire du vélo, donc quand il s'agit de faire du sport, on passe inévitablement à un moment ou un autre par cette case-là. Maintenant, qu'est-ce qui m'a soudainement poussé à faire du vélo?!

AIDS LifeCycle
Hé bien la rencontre avec Flo sur Expat-Blog (j'y reviendrai je vous rassure) a fait qu'elle m'a parlé d'un évènement se déroulant tous les juins de chaque année: l'AIDS LifeCycle. Tenez-vous bien: c'est un voyage à vélo entre San Francisco et Los Angeles sur 7 jours et qui fait 545 miles. Ou 877 kilomètres.

Son intérêt?
  • Réunir des fonds pour combattre le sida. L'année dernière, $10,100,000 (10,1 millions) ont été levés à la suite de cet évènement.
  • C'est une expérience unique.
  • Je vais pouvoir découvrir la côte pour la première fois ;)
  • C'est une expérience qui se partage (nous serons plusieurs Français à courir).
Le chemin se fait donc en 7 étapes comme suit:

Carte du chemin San Francisco > Los Angeles à vélo.

Bref, un long trajet qui nécessite un entraînement adéquat, un équipement de bonne qualité, des fesses musclées et beaucoup de courage! Mais également de l'argent: en effet, l'inscription à la course est de... *roulement de tambour* ...

De retour!

Coucou tout le monde!

Je voulais simplement vous prévenir que je suis enfin "de retour" sur la toile, car j'ai finalement réussi à obtenir mon chez moi, à San Francisco, après maintes péripéties qu'il me serait trop long d'expliquer ici. Mais vous aurez des détails bientôt, je vous rassure!

En attendant, petite photo de la vue de ce soir depuis mon bureau.


lundi 11 juillet 2011

Croisière sur l'Acabar

Luscutoff, Lendormy & Associates, le cabinet d'avocats de Viadeo, est dirigé par un certain M. Lendormy qui a pour habitude d'inviter les nouveaux employés de notre office à San Francisco sur son bateau de course: l'Acabar. C'est ainsi que Sven, Alexandre, Frédéric, Guillaume et sa compagne, David et moi même avons été embarqué pour une journée de croisière sur la baie de San Francisco, en direction d'Oakland.


Le chemin que nous avons fait grosso modo.

La mer était plutôt calme, et le but était de sortir la grand-voile par vent arrière, de traverser un chenal, de faire une petite escale à Oakland puis de revenir en faisant des bords jusqu'au point de départ.

L'Acabar.
Il faut savoir que l'Acabar est un vrai bateau de course: il participe régulièrement à des frégates, et il est même parti une fois pour une aventure de plus d'une semaine avec une dizaine de personnes à bord (je ne me rappelle plus des données exactes, je m'en excuse platement). Bref, vous imaginez l'équipage que nous faisions sur un navire pareil, mais heureusement d'autres personnes nous accompagnaient, beaucoup plus à l'aise sur ce genre d'opérations. Et nous avons même pu mettre la main à la pâte...


A notre grand malheur, nous avons rapidement vu sur le trajet d'aller que la grand-voile, en Kevlar pourtant, s'était fissurée; nous avons donc du l'affaler pour éviter que les dégâts s'étendent au reste de la toile. La suite du voyage s'est donc déroulée avec le génois seulement: une vitesse moindre, mais pas d'éclaboussures non plus.


Après une croisière tranquille en direction d'Oakland, nous pénétrons dans le chenal, où d'énormes grues attendent de charger et décharger les porte-conteneurs.

lundi 20 juin 2011

Les bases du baseball - Partie 1

EDIT (21 juin): Après une remarque d'un lecteur, j'ai donné plus de précisions sur les façons d'éliminer un joueur; il semble que ce n'était pas parfaitement clair.

Voici le premier billet d'une série pour vous faire découvrir les règles d'un sport typiquement américain: le baseball. Je ne me bornerai pas à vous faire un historique ou une présentation des équipes, mais plutôt un descriptif des règles de base dans un premier temps, puis de certaines règles avancées que je maîtrise.

Mais commençons par la base (c'est le cas de le dire, vous allez voir): comment gagne-t-on au baseball?


Ceci est un terrain classique, comportant:
  • le marbre, la plaque blanche tout en bas du schéma sur laquelle se placent les batteurs quand vient leur tour de frapper,
  • trois bases, formant un carré (le "diamant") avec le marbre, et tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre: la base 1 est situé à droite, la base 2 en haut, la base 3 à gauche,
  • un monticule, placé au centre du diamant, d'où le lanceur envoie la balle vers le marbre,
  • un champ, situé derrière le diamant, où la balle peut rouler si elle est bien frappée.

Les bases 1, 2 et 3 sont des coussins en forme de carré, tandis que le marbre a une forme différente. Afin de mieux vous l'imaginer, voici une photo:


Marquer un point
Le but du jeu est de marquer plus de points que l'adversaire. Un point peut être marqué si un joueur court du marbre, passe par les bases 1, 2 et 3 puis revient au marbre sans se faire éliminer. Il peut aussi faire une pause à chaque base si besoin.


Batting cages

Non content de m'intéresser au baseball de beaucoup plus près qu'avant, j'ai de plus réussi à convaincre des collègues de travail à m'accompagner à un "batting center", comprenez un centre spécial où l'on peut s'exercer à la batte. Bien que je connaissais le principe, je ne m'y étais jamais rendu moi-même et c'est avec une certaine excitation que nous avons découvert les lieux.

Mais il faut d'abord savoir que le seul batting center proche de San Francisco est situé sur Treasure Island, petite île assurant la liaison entre les deux parties de l'Oakland Bay Bridge et faisant la connexion entre San Francisco et, vous l'avez deviné, Oakland. Nous avons donc réservé une cage là-bas et sommes partis le samedi suivant sur la petite île à moitié naturelle et à moitié artificielle.


La fine équipe était constituée de David, Frédéric, Alexandre, Olivier et moi-même. Pour un total de $16,00 par personne (soit $80,00 en tout - $40,00 l'heure), nous nous sommes dépensés, éclatés, et surtout nous n'avons pas vu le temps passer. C'est que taper dans une balle, c'est quand même très divertissant ;-)

Bientôt professionnels de baseball?

Sur la vidéo, il est possible de voir les 4 cages dont dispose le centre, chacune ayant une vitesse de lancé différente. Au fond, deux bullpens, c'est-à-dire des emplacements réservés aux lanceurs pour qu'ils puissent s'exercer. Avantage: nous pouvions utiliser un des bullpens pendant que l'un d'entre nous battait, ce qui permettait de ne pas se refroidir entre deux séances.

Meilleure vue des cages.
Evidemment, chaque personne est passée à la frappe, notamment Frédéric et Olivier que j'ai pu filmer, et dont vous allez pouvoir observer les incroyables (!) performances ci-dessous.

jeudi 26 mai 2011

Giants vs. Dodgers



"Les Giants? Mais c'est quoi les Giants? Et encore pire: les Dodgers?"


Je pense que vous aurez une idée après avoir vu un des logos des Giants:


Trouvé? Ce sont bien sûr des équipes de baseball... et plus particulièrement celle de San Francisco (Giants) et une des deux de Los Angeles (Dodgers, l'autre sont les célèbre Angels). Et si je parle de ces deux noms en particulier, c'est que mes collègues et moi sommes allés voir un match les opposant, au seul stade officiel de MLB (Master League Baseball, le tournoi national de baseball qui se déroule tous les ans aux Etats-Unis) de San Francisco: l'AT&T Park.

Célèbre par sa position au bord de l'eau et reconnaissable par la grosse bouteille de Coca-Cola dans les tribunes du fond, l'AT&T Park avait accueilli l'année dernière les World Series 2010, la finale du tournoi, car les Giants s'étaient battus jusque là... pour finalement gagner le trophée pour la première fois depuis leur existence, une prouesse majeure qui a secoué la ville pendant des semaines et mobilisé une foultitude de gens pour fêter la victoire.

Ce fait est d'ailleurs toujours très présent dans la ville car il est possible de voir un peu partout de nombreux panneaux ou drapeaux rappelant leur place de champion... jusque sur les camions de pompiers qui arborent fièrement le logo créé pour l'occasion!

Au delà de bientôt habiter la ville et de bien sûr supporter l'équipe locale, je m'étais intéressé aux Giants dans le courant de l'année dernière, poussé par un ami qui lui-même suivait ce sport. J'ai fini par aimer, puis vraiment supporter l'équipe, au point de vouloir aller les voir jouer à mon passage à San Francisco.

Préparation au match
Et c'est ce que nous avons fait. J'ai proposé à mes collègues de prendre des places, nous nous sommes fixés une date et après un achat un peu chaotique sur internet, nous avons finalement récupéré 8 places à $72,00 chacune que nous nous sommes reparties, puis nous avons pris le chemin du stade le mardi 12 avril en fin de journée.

Mais bien sûr, avant ça, il était hors de question de venir soutenir les Giants sans la panoplie du fan, chacun a donc fait l'effort (non forcé je précise quand même!) de s'habiller aux couleurs locales, voire même de faire la folie d'acheter une casquette, ou un hoodie, ou les deux...

Let's go Giants! Je vous conseille de zoomer, ça vaut le coup d'oeil ;)
Sur la photo, plusieurs remarques:
  • Le logo présent sur les casquettes (le "SF" stylisé) ne représente donc pas la ville, mais bien l'équipe de baseball! La prochaine fois que vous le verrez, vous pourrez donc étaler votre culture et éviter de passer pour un âne en pensant que ça ne signifie que "San Francisco".
  • Le hoodie porté par Olivier, la personne la plus à droite, a été créé spécialement pour l'occasion de la victoire des World Series: pour dire que ça a marqué les gens!
  • Le T-shirt représentant Brian Wilson porté par Frédéric (3e personne en partant de la gauche) fait honneur à l'énooooorme barbe que portait ce joueur pendant les World Series (et porte toujours depuis). Très célèbre, il a plusieurs fois sauvé les Giants en temps que closer (un lanceur particulier au baseball), et il était tellement fort que le public criait "Fear the beard!" ("Craignez la barbe!"). Ce cri de guerre est donc resté, et il n'a fallu qu'un tour pour que des tenues de fan appropriées voient le jour...

jeudi 19 mai 2011

San Jose et Google

Semaine du samedi 2 avril: David, Émilie (sa femme), Fabrice et moi décidons de quitter San Francisco en fin de semaine pour nous rendre à l'exposition Bodies à San Jose, dans le musée "The Tech". Nous achetons donc les tickets sur internet, réservons une voiture et attendons avec impatience le samedi.

Un petit problème de voiture
Tôt le samedi matin, Fabrice et moi prenons le bus pour rejoindre David et Émilie à un magasin de sport, situé non loin du parking où la voiture devait être récupérée. Nous voulions en effet faire l'acquisition d'un peu de matériel de baseball avant de partir. Nous faisons donc nos emplettes, et c'est quand nous avons voulu repartir avec la voiture que les problèmes ont commencé.

Vue prise au pied de l'immeuble où nous logions à San Francisco.
La voiture n'était pas une location classique: c'était une Zipcar: une voiture en libre service qu'il est possible de débloquer soi-même grâce à une carte réutilisable et préalablement demandée dans un magasin de l'entreprise. Seul souci: la voiture n'a jamais voulu redémarrer. Pire encore: elle commença à sonner sans jamais vouloir s'arrêter, à coup de klaxon dissonants et particulièrement énervants.

Un coup de fil plus tard, nous voilà tirés d'affaire... ou presque. Alors que la sonnerie s'était arrêtée, le moteur refusait toujours de démarrer. Nous décidons donc de rappeler dans l'espoir qu'ils puissent activer la voiture à distance. C'est finalement après deux autres coups de fils, des sonneries diverses et variées et des oreilles qui résonnaient que la voiture a été désactivée entièrement sur une dernière note sonore mourant en un "couik" assez drôle.

L'agent de Zipcar nous informe qu'il ne peut rien faire, et que la location sera remboursée à David. Sauf que nous, nous nous retrouvions sans voiture avec des articles de baseball dans les mains.

Nous avons finalement rejoint une agence de location classique à laquelle nous avons loué une voiture, processus qui nous aura coûté un peu plus cher mais qui nous aura donné la chance de se rendre à San Jose tout de même. Avec deux heures de retard...


mardi 17 mai 2011

Alcatraz

Allez, je m'y remets. Je pense que c'est le nombre d'albums qui me reste à vous faire partager qui me bloque: arriverai-je un jour à tout mettre sur ce blog? Je suppose que oui puisque j'écris ce billet ;-)

Le 27 mars de cette année (oui oui: il y a quasiment deux mois), nous sommes partis, David, sa femme (milie) et moi en direction d'une des prisons les plus célèbres du monde: Alcatraz, ou "The Rock". Pour cela, direction Fisherman's Wharf d'où nous avons pris le bateau pour une courte traversée vers l'île.

San Francisco et les Giants... le parfait duo!
Une île d'ailleurs honteusement mal nommée, car elle vient de "La Isla de los Alcatraces" qui se traduit par "L'île des Pélicans". Or, ce sont surtout des cormorans qui vivent là-bas, mais les Espagnols qui accostèrent sur l'île, probablement avant 1775, soit les confondirent avec des pélicans, soit les désignèrent par "alcatraceo", le mot Espagnol pour "cormorant", qui dériva en "Alcatraz".

L'embarcadère de l'île d'Alcatraz.
Occupée successivement par les Indiens et l'armée, puis utilisée comme prison, l'île d'Alcatraz possède une histoire mouvementée que la visite propose de découvrir. Aujourd'hui parc national, elle est conservée en état notamment par l'apport de fonds provenant du tourisme.

Quelques faits & chiffres
Certes célèbre et terriblement efficace, la prison fut considérée finalement comme trop coûteuse et vétuste et fut fermée en 1963 (il y a presque 50 ans!). Les derniers prisonniers quittèrent les lieux le 21 mars de cette même année. Selon les périodes, elle accueilla entre 222 et 320 prisonniers pour un nombre de cellules plus important: 336 cellulles réparties dans les blocs B et C (le A n'a jamais été utilisé comme prison), ainsi que 42 autres dans le bloc D "isolation".

Une cellule classique d'Alcatraz.
Quatre-vingt dix officiers étaient nécessaires pour assurer des roulements de 8 heures tous les jours et faire les remplacements nécessaires en cas de congé annuel ou maladie. En 1950, le nombre d'officiers fut néanmoins réduit à cause d'une réduction de budget. Fait notoire: la plupart d'entre eux vivaient directement sur l'île.

Trente-six prisonniers ont tenté l'évasion (dont deux, deux fois), mais seulement 3 d'entre eux s'échappèrent, et 6 moururent dans l'action, tués par les gardes. Leur évasion, très sophistiquée, fut rendue possible par l'agrandissement d'une ouverture au fond de la cellule (voir les photos) et la création d'une fausse tête qui dupa les gardiens le temps de la fuite. Ils ne furent néanmoins jamais retrouvés, et on ne sait pas s'ils ont atteint la côte vivants.

dimanche 24 avril 2011

NBA: Warriors vs. Mavericks

Quoi de mieux que de découvrir le basket professionnel à un match de la NBA? Thibaut, collègue de travail, m'a en effet invité le 17 mars au match qui opposait les Golden State Warriors (équipe locale) aux Dallas Mavericks. Une sortie inoubliable.

Le terrain, vu de nos places.
Et je dois confirmer que les cheerleaders sont effectivement canon aux USA ;-)

Les cheerleaders des Golden State Warriors.
Outre le match, dont je ne vous proposerai pas de vidéos car vous en trouverez partout sur le net ou même à la télévision, c'est l'ambiance du stade et les animations pendant les pauses qui valent le détour. Il est impossible de s'ennuyer: il y a toujours quelque chose à regarder, et c'est là où on se rend compte que les Américains ont tout compris au marketing. On aurait des leçons à prendre!

La première chose qui marque est la présentation de l'équipe locale. Alors que les Mavericks ont été présenté sobrement, c'est des effets de lumière, une vidéo et des animations (!) qui accompagnent l'entrée des joueurs sur le terrain.


Puis, pendant les pauses les plus longues, des bouts de spectacles dont on peut acheter des places sont présentés: ce jour-là, c'était pour une troupe de danse indienne. Imaginez la coïncidence alors que je reviens à  peine de mes neufs mois passés en Inde! Ce fut un véritable plaisir de retrouver les accords des musiques indiennes ainsi que leur danse hallucinante.


Puis viennent d'autres animations diverses et variées dont:

  • des pizzas offertes gratuitement à des personnes du public choisies aléatoirement,
  • une loterie s'affichant tout autour du stade (c'est incroyable à voir) et où l'indicateur tourne jusqu'à choisir une section du stade qui bénéficiera de réductions dans un restaurant spécifique,
  • une caméra qui filme le public sous les sons d'une musique rythmée et qui a pour but de les faire danser,
  • une troupe exécutant des dunks artistiques,
  • ...




Pour dire... on en a pour le prix du billet ($70,00 pour la section où nous étions)!

Une pub pour Chrysler?

Alors que nous revenions du batting center ce samedi (post à venir), nous sommes tombés sur un groupe de professionnels en train de filmer une pub pour Chrsyler. C'était impressionnant. Il y avait même un petit hélicoptère pour avoir une prise de vue différente de la scène.

Le groupe de loin.
Un aperçu de l'hélicoptère miniature et de son pilote.

lundi 11 avril 2011

Nob Hill

Le lendemain de notre ballade à Fisherman's Wharf, David me rappelle pour me convier un peu plus au sud dudit lieu: Nob Hill, un des coins chics de San Francisco. Je me pare de mon hoodie et de ma casquette Giants, de mes lunettes de soleil, et je me rends jusqu'à Mission Street rejoindre David pour une petite boustifaille en début d'après-midi. Puis nous rejoignons Market Street où nous prenons le Cable Car, mais cette fois-ci... de jour!

Lieux que nous avons visités.

Direction le Cable Car Museum. Mais avant de partir, un peu d'informations sur les "Giants".

Un exemple d'équipement de fan des Giants ;-)
Les Giants forment la seule équipe de baseball de MLB (Master League Baseball), la ligue nationale de baseball, de San Francisco. Or ceux-ci ont gagné l'année dernière pour la première fois les World Series, une des plus belles distinctions qu'il est possible d'obtenir dans ce sport. Après avoir échoué trois fois en finale, ils ont finalement remporté la récompense ultime en 2010 sous les acclamations d'un public en folie.

Du coup, il n'est pas rare de voir des affiches "World Series 2010", des casquettes ou des hoodies de l'équipe dans la ville. Autant dire qu'en dépit de la couleur flashy de mes habits ce jour-là, je ne dénotais pas particulièrement au milieu des gens.

Mais revenons-en à nos moutons à notre Cable Car. Un dimanche de beau temps, vous vous doutez bien que l'engin a du succès, nous n'étions donc pas surpris de voir tellement de monde au terminus. J'en profite pour filmer la façon dont les conducteurs retournent le wagon.



Et puis zoup, c'est parti sur les rues de San Francisco avec de charmantes passagères :)

samedi 9 avril 2011

Session cinéma sur Mission Street

C'est par manque de choix que nous nous sommes décidés à aller voir un film choisi un peu au hasard (au moins il y avait de l'action) au cinéma de Mission Street, gros complexe qui n'étonnera personne s'étant rendu dans un complexe similaire en France.


Le film était nommé "I am number four", et il restait des places pour la séance la plus proche; chose néanmoins étonnante, le nom du film se terminait par "-I", autrement dit, le nom complet était "I am number four-I". Bon. On ne se pose pas trop de questions et on achète les billets. David passe en premier.

- Seventeen dollars please.
- Seventeen?! For one place?
- Yes, sir.

On se regarde. Les places sont-elles si chères que ça aux Etats-Unis? Allez, ça sera bon pour cette fois. Nous montons 2 étages pour nous rendre à la boutique de pop-corns. Ici, c'est $15,00 pour le pot de pop-corn et une grande boisson (genre un litre, la boisson).

Certains d'entre nous sont donc partis pour une soirée à $17,00 + $15,00 = $32,00. Cher, le cinéma.

Et nous avons finalement compris ce que voulais dire le "-I" après le nom du film. C'était "I" comme "IMAX", j'ai filmé la salle pour l'occasion histoire de justifier le prix des billets.


Ho, et vous ai-je dit que le film était un véritable navet?

Fisherman's Wharf et la baie du Golden Gate

Ça remonte au... 20 février. Oui. C'était il y a un mois et deux semaines, alors vous devriez être en train de vous demander: pourquoi pas de nouvelles plus tôt? Hé bien je vous répondrai que ma connexion internet toute faiblarde n'a pas encaissé les nombreuses vidéos que je devais envoyer sur Youtube avant de poster ce message. Résultat: de nombreuses journées de retard et mes plus plates excuses.

Mais passons. Le 20 février les trois Québecquois étaient là (j'ai nommé Alexandre, Christian et Frédéric), collègues de travail avec qui nous avons visité plusieurs fois San Francisco. Ajouté de David, c'est au nombre de 5 que nous nous sommes rendus à Fisherman's Wharf par une après-midi ensoleillée avec comme objectif de visiter la baie en bateau. Objectif réussi, vous allez le voir (et en vidéo, en plus).


Trajet entre Market Street et Fisherman's Wharf.

La fine équipe.
Nous nous rendons donc sur Market Street d'où nous prenons le tramway.


Celui-ci nous dépose directement sur Fisherman's Wharf, où nous nous rendons (après avoir mangé) à l'embarcadère d'où nous prendrons le bateau pour faire un tour sous le Golden Gate Bridge et autour d'Alcatraz. Prix: $24,00. Il est d'ailleurs intéressant de noter que "Golden Gate" fait non pas référence au pont mondialement connu, mais à l'embouchure de la baie. Dire que l'on a visité "le Golden Gate" est un abus de langage, on devrait dire "j'ai visité le Golden Gate Bridge" ou "j'ai fait une croisière sur la baie du Golden Gate". ;-)

Le fier rafiot qui nous a emmené.
Du bateau, les vues sur San Francisco et la baie sont superbes, je vous laisse admirer les vidéos :)

vendredi 18 mars 2011

Nouvel an chinois

C'est alors que je cherchais simplement à visiter San Francisco avec David que les Québecquois nous ont appelé pour nous prévenir que la parade de clôture de la semaine du nouvel an chinois se déroulait l'après-midi même. Résultat: au lieu de se rendre à Fisherman's Wharf, au nord, pour tenter un tour sur la baie en bateau, nous nous sommes retrouvés non loin de la Dragon's Gate (voir la photo et la carte ci-dessous), derrière des barrières le long de la route, dans le froid... et la pluie.

La Dragon's Gate.
Fait heureux de cette parade: elle nous a épargné un vent glacial et surtout le trajet sur la baie en pleine pluie. Nous avons néanmoins souffert pendant presque trois heures, au point que nous ne sentions plus nos pieds quand nous sommes partis, un poil avant la fin. L'expérience fut néanmoins bonne car j'ai pu retrouver l'ambiance que j'avais connue à Singapour il y a plus d'une quinzaine d'années. Ça remonte à loin quand même!


Nous avons malheureusement raté la parade d'ouverture qui se déroulait une semaine plus tôt, il ne nous restait donc plus que cette occasion pour participer à cet évènement annuel de San Francisco: ici, le nouvel an chinois est fêté dès que janvier (ou février) pointe le bout de son nez, et ce pendant une semaine!

En début d'après-midi, non loin de la Dragon's Gate...
...et devant ce magasin au look original.

dimanche 27 février 2011

Golden Gate Bridge

Le mot "bridge" est important ici, car l'appellation "Golden Gate" désigne en fait la baie où le pont est situé, et non le monstre lui-même.

Je pars donc dimanche 13 février en direction du pont par la ligne... 76, si mes souvenirs sont bons (vous allez voir, ça a de l'importance). A peine un bloc de marche, et hop me voilà dans le bus pour un trajet assez court et ne coûtant que $2,00. Le but: aller de l'autre côté du Golden Gate puis retraverser le pont à pied armé de mon appareil photo. Manteau et écharpe obligatoires.


La visite offre de magnifiques vues sur San Francisco que je vous propose de découvrir en galerie avec commentaires. Quelques étonnantes choses tout de même:

  • Le Golden Gate Bridge mesure plus de 2,7 kilomètres, c'est gigantesque!
  • Il est pourtant moins long que le Bay Bridge (7,18 km), pont moins connu mais néanmoins très proche.
  • Le pont utilise la couleur Orange International car elle est visible en temps de brouillard.
  • Une (ou deux) équipe(s) de peintres -- 25 aux dernières nouvelles -- repeignent constamment le pont. Ils partent d'un côté, vont jusqu'à l'autre, et refont le chemin dans l'autre sens. On utilise 2 tonnes de peinture chaque semaine...
  • J'ai pris en photo la même navette qui nous amènera sous le Golden Gate Bridge quelques jours plus tard en compagnie de collègues de Viadeo; on en reparlera plus tard ;)
  • Et aussi un hélicoptère qui s'est non seulement approché très près du pont, mais qui est passé également dessous! Vous trouverez une vidéo plus bas.

Après la traversée, j'ai passé une bonne heure à marcher le long de la côte, et notamment m'arrêter sur un ponton pour prendre quelques photos supplémentaires. L'air était glacial, mais la vue valait le détour.



Peu après être arrivé de l'autre côté du pont.


EDIT (01/03/2010) Je viens tout juste de réaliser que je n'ai pas expliqué pourquoi le numéro de la ligne de bus était importante. A mon retour, j'ai attendu une trentaine de minutes à la station de bus adéquate, sauf que... le bus n'est jamais arrivé! En effet, celui-ci semble ne fonctionner que jusqu'à très tôt dans la journée, et surtout ne jamais faire le chemin inverse... Du coup, obligé de prendre deux autres lignes consécutivement sans plan des lignes, une vraie galère! Au lieu de prendre à peine 30 minutes pour rentrer, ça m'a pris quasiment une heure et demie... mais j'ai pu du coup avoir un petit aperçu de Chinatown, lieu où je retournerai quelques jours plus tard pour le nouvel an...

samedi 19 février 2011

Couché de soleil sur San Francisco

Allez, deux posts pour le prix d'un aujourd'hui. Vendredi dernier, le ciel s'est doté d'une couleur violacée surprenante, que je n'ai pas pu résister à persister en argentique en JPG. Photos et vidéo pour vous depuis les locaux de Viadeo, en compagnie de deux collègues, David (dont vous allez entendre à nouveau parler plus tard) et Guillaume.




Déménagement... premier

Alors que mon déménagement propre à moi tout seul ne surviendra que dans quelques semaines -- voire quelques mois -- j'ai profité de mon premier samedi à San Francisco pour aider Patrick et Julie à déménager. Quelle idée, me direz-vous, mais ce n'est pas comme si j'avais tout le temps devant moi pour découvrir le reste de la ville.

Résultat: une journée bien remplie où j'endosserai successivement les rôles de déménageur, conseiller en hardware (pour choisir un routeur) et monteur de meuble. Avec ça, je n'ai pas vu les heures passer!

Une note intéressante toutefois, c'est que Patrick avait prévu large, mais alors très large au niveau du camion et du temps de déménagement. Le camion, que vous verrez ci-dessous, n'était au final utilisé qu'à à peine un quart de sa contenance, et nous avions fini de charger l'ensemble des paquets à l'heure où nous aurions du en fait commencer à charger (nous avions commencé un peu en avance). Vous allez me dire, c'était plutôt une bonne nouvelle, on va pas se plaindre non plus ;-)

Autre fait amusant: "l'agence" de location du camion ressemblait à tout sauf à une agence de location: elle tenait tout d'une petite épicerie. Impossible de deviner, depuis l'extérieur, que des camions pouvaient être loués là-bas, à part une pancarte discrète "U-Haul Rentals" ou quelque chose du genre. Je ne suis pas au bout de mes surprises sur le sol américain :)

Le camion de déménagement, garé devant "l'agence" de location.
La "fameuse" agence de location / épicerie.
Petite pause après avoir fini de décharger les cartons dans le nouvel appartement de Julie et Patrick, et avant d'aller manger.
Sur le chemin du restaurant...
Le repas purement diététique que nous nous sommes avalés après nos durs efforts du matin.

jeudi 17 février 2011

Networking autour d'un bon verre de vin

Jeune de ses quelques mois à San Francisco, Viadeo doit encore prouver sa valeur sur le territoire américain: ici,  personne ne connaît, il est donc de bonne augure de proposer une découverte de la société autour d'une table sur le thème du vin, où 4 spécialistes viennent expliquer comment le réseau social a eu un impact sur leur business.

Une matinée riche en rencontres, mais un peu décevante sur sa conclusion: au final, bien que le sujet ait intéressé la presse, la mise en valeur du réseau social est restée un peu en deçà de nos espérances.

La préparation de la salle, peu avant le début des évènements.

En pleine  conférence.

mercredi 16 février 2011

160 Spear Street

Ce message, à l'honneur du titre de ce blog, vous propose de découvrir les images des locaux de Viadeo au 160 Spear Street à San Francisco. Au 16e étage, ce grand open space nous accueille "chaleureusement" -- pas vraiment les jours de froid mais bon -- et nous offre une vue très sympa sur les environs. N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil aux commentaires des photos.

lundi 14 février 2011

Clipper Card

Aujourd'hui je me suis acheté une Clipper Card, comprenez l'équivalent de la carte Navigo à San Francisco. Très pratique, car celle-ci permet de fonctionner soit:
  • en mode "cash", à recharger dès qu'il n'y a plus d'argent sur la carte; particulièrement utile puisque dans les bus les machines ne rendent pas la monnaie,
  • en mode abonnement, pour $60,00 USD il est possible de prendre tous les bus et les cable car de la compagnie Muni en illimité pendant un mois; sachant que le prix d'un billet de bus est de $2,00 USD et d'un billet de cable car $5,00 USD, ça vaut vraiment le coup.
J'y ai donc mis $20,00 USD pour commencer, et je passerai à l'abonnement dès que San Francisco sera ma ville de domicile. Et évidemment, il est possible de la recharger par internet, histoire d'éviter à avoir à se déplacer en agence à 20h00 après être rentré chez soi...

Arrivée à San Francisco

Il y a un peu plus d'une semaine, je posais pour la première fois mes pieds dans la ville américaine -- enfin autre part que dans l'aéroport dois-je préciser -- tout émoustillé des évènements des prochains jours. Sous un temps splendide, j'ai cherché, me suis perdu, puis finalement ai trouvé l'arrêt du bus qui allait m'amener non loin du 160 Spear Street où je me rendais directement, n'ayant pas l'adresse de l'hôtel où j'irai habiter.

Après une dizaine de minutes d'attente (ou un peu plus?), me voilà à l'avant du bus, en train de me demander pourquoi le chauffeur ne me donne pas de ticket. Visiblement, lorsque l'on paye le ticket en face de lui, pas besoin: il se rappellera que c'est fait lorsqu'il contrôlera les voyageurs avant de partir.

Trajet entre l'aéroport et mon lieu de travail.

Sur le chemin, j'en profite pour prendre deux vidéos inintéressantes, mais qui me permettront de juger de la qualité des vidéos de mon nouvel appareil photo: un DMC-TZ10, offert par un ami ;-)



On s'approche de l'arrivée... Est-ce que l'endroit où nous sommes installés vaut le coup d'oeil?

La suite du début...

Bien le bonjour!

Si mes précédentes aventures tu as suivi, alors savoir de quoi ce blog parle tu dois. Effectivement, mon travail m'amène à venir déménager à San Francisco, belle ville située sur la côte californienne; j'en profite donc pour ouvrir ce blog au nom quelque peu mystérieux, mais très parlant pour ceux qui travaillent avec moi.

160 Spear Street, c'est l'endroit où sont situés (pour l'instant!) les locaux de Viadeo à San Francisco. Au 16e étage d'un immeuble classieux, c'est environ une vingtaine de personnes qui se retrouvent chaque jour pour travailler sur notre site web favori ;-) De là, j'essaierai de vous faire découvrir mes péripéties dans la ville américaine, mais aussi dans d'autres états si j'en ai l'occasion; notamment pour les parcs nationaux.

Il y a déjà pas mal de choses à mettre en ligne... alors préparez-vous!

Vue de San Francisco depuis les locaux.